La mostra in programma dal 18 marzo al 23 aprile 2011 ha per titolo “Giovanni Bosco dottore di tutto” e vedrà l’esposizione di 51 opere dell’artista castellammarese scomparso nel 2009 nei locali della Galleria di Berst Christian al 10 di Rue Chapon a Parigi.
Un catalogo di 120 pagine in francese,inglese ed italiano con testi di Eva Di Stefano e Jean-Louis Lanoux accompagnerà la mostra.
Il 5 aprile alle 19,00 avrà luogo la visione del film realizzato da Salvatore Bongiorno e dedicato a Giovanni Bosco, cui seguirà dibattito, con l’autore, Boris Piot e Jean-Louis Lanaux.
Questa la presentazione (in francese) della mostra:
“Né en 1948, le sicilien Giovanni Bosco – d’abord berger puis ouvrier dans une carrière de marbre – sombra dans la psychose à la suite de l’assassinat de deux de ses frères. L’institution psychiatrique et la prison à laquelle il fut condamné un an à la suite, semble-t-il, d’un vol de bétail, ne lui ôtèrent ni son sourire désarmant, ni la propension à transformer son existence démunie en un acte de poésie pure. A Castellamare del Golfo, ses journées furent alors rythmées par les chansons populaires napolitaines et les peintures d’une inventivité rare qu’il exécutait sur les murs de sa ville ou sur des matériaux de fortune. Corps démembrés ou «surmembrés», serpenteaux et homoncules, cœurs céphaliques, mots et signes scandés dans l’intervalle du dessin, tel est l’alphabet pictural de Giovanni Bosco. Lorsque son génie est enfin reconnu, il est emporté par un cancer en 2009. Depuis, des historiens de l’art et autres spécialistes de l’art brut lui ont consacré des journées d’études et des analyses. Un film retraçant les derniers mois de sa vie a été produit par des étudiants qui furent parmi ses derniers véritables amis, tandis qu’un projet de restauration et de conservation de ses fresques est à l’étude. Alors qu’à la Collection de l’art brut, à Lausanne, une exposition est en préparation, nous sommes heureux de pouvoir proposer un ensemble représentatif des joyaux de celui qui se disait dottore di tutto et qui, lesté de tous les malheurs, avait trouvé dans l’art un remède absolu.“.
Il catalogo è sfogliabile qui.
Di Giovanni Bosco abbiamo scritto in precedenza qui, qui, qui, qui qui qui e qui.